Distinction : Prix
de littérature des Traditions niçoises 2004
décerné à Nice le 22 mai 2004.
Caractère
de l’œuvre : fiction
historique sous forme de polar.
Cadre : le comté de Nice au XVIe siècle.
Introduction
au sujet : Nice
en l’an 1521. Un retable de Ludovic Brea s’enflamme spontanément dans l’église
Saint Martin-Saint-Augustin. Les Niçois s’agitent et le gouverneur du comté de
Nice demande au duc de Savoie de dépêcher un enquêteur. Un jeune chevalier
quitte Chambéry et traverse les Alpes pour arriver à Nice où tout semble se
liguer contre lui. La cité bouillonne de ragots et de rancœurs. Les moines
augustins voient dans l’incendie de la pala
un impérieux message divin ; les Niçois y voient l’œuvre du diable ;
le gouverneur soupçonne un complot des Génois. Le jeune vicaire ducal,
désemparé, saisit une main qui se tend, la main de Ludovic Brea qui a connu les
meilleurs peintres de Florence et agrège une partie des connaissances de son
temps...
Distinction :
Prix de littérature Claude Favre de
Vaugelas 2012 décerné à Meximieux le 23 mars
2012.
Caractère de
l’œuvre : fiction historique sous
forme de polar.
Cadre : Chambéry et Genève au XVIe siècle.
Introduction
au sujet :
Chambéry en l’an 1525. Le duché de Savoie
a revêtu son manteau d’hiver. Le chevalier de Montreil, avocat des pauvres au
Conseil résident de justice, songe à
trouver une épouse de bonne race qui n’affadisse pas les vertus de sa lignée.
Son père, parti à Genève pour tenter de ramener les confédérés dans le giron
des Savoie, lui demande de le rejoindre sur les bords du lac Léman. Il lui
propose de faire la connaissance d’une
belle et noble personne mais une affaire de justice, que l’avocat accepte du
bout des lèvres, le retient un temps près de l’Albanne. Comment pourra-t-il
défendre les gueux qui ont assassiné un de ses amis et qui lui causent un si
grand dégoût ?
Caractère de l’œuvre : fiction
historique sous forme de polar.
Cadre : le comté de Nice et
Monaco au XVIe siècle.
Introduction au sujet :Le comté de Nice en l’an 1535. La Cour de Savoie quitte Chambéry menacée par
la belliqueuse politique de François Premier. Une longue colonne de bêtes de
bât traverse les Alpes pour mettre à l’abri du rempart niçois la duchesse
Béatrix d’Aviz, les princes héritiers et le saint suaire. Les Niçois
accueillent leur souveraine avec enthousiasme mais le Comte de Montreil ne peut
serrer François Brea contre son cœur. Le peintre a disparu, délaissant les
travaux de l’atelier, pour suivre de mystérieux Batuti venus le chercher au soir du mercredi des cendres. La
découverte, dans la marine monégasque, d’un noyé portant les stigmates du
Christ entraîne le comte à la recherche du peintre vers la seigneurie des
Grimaldi. Il trouvera dans le vêtement du noyé le troublant dessin d’une
Gorgone aux yeux de braise...
Distinction : Prix de Littérature des Ecrins-René
Desmaison 2009
décerné à l’Argentière-la-Bessée le
5 août 2009.
Caractère de l’œuvre : fiction
historique sous forme de polar.
Cadre : Nice et la vallée de la
Vésubie au XVIe siècle.
Introduction au sujet : Anne de Montreil quitte le Val de Lantosque au printemps de l’an 1538 pour rallier
Nice, ultime forteresse d’où les Blanches Mains peuvent encore résister à la
puissance française. Son âme tourmentée par la défaite et par l’exil accompagne
le pas des mules sur la route Pagarine encombrée de caravanes. Elle a hâte de
rejoindre Charles, son doux ami, occupé par de curieuses négociations entre
François Premier, retranché au château du marquis de Villeneuve, et Charles
Quint resté à bord de la galère impériale dans la rade de Villefranche. La joie
de retrouver l’homme qu’elle aime fait battre son cœur mais un compagnon de
route, diplomate de l’ordre des Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem, meurt
mystérieusement empoisonné. Que fera la belle comtesse emportée par un besoin
de justice plus ardent que la soif et la faim ?
Distinction : 2ème
Prix du Concours Littéraire
International 2010 des Arts et Lettres de France décerné
à Montpellier le 5 juin 2010. Médaille d’argent de la ville
de Toulouse.
Caractère de l’œuvre : fiction
historique sous forme de polar.
Cadre : Nice et la haute vallée
de la Roya au XVIe siècle.
Introduction au sujet : Le comté de Nice au mois de février de l’an
1541. Un moine dominicain franchit le
col de Tende enneigé et découvre avec stupéfaction les fresques de Giovanni
Canavesio près du village de La Brigue. Un marchand français débarque d’une
galiote qui fait relâche en rade de Villefranche et s’installe dans la cité
niçoise à l’auberge du Loup Blanc. Le chevalier de Blancardi meurt dans la rue
Droite entouré de jeunes gens qui fêtent bruyamment le carnaval. Un énigmatique courrier qu’il lisait en
marchant est retrouvé sur la chaussée près du cadavre ; l’unique phrase
qui y est écrite éveille les soupçons du comte de Montreil : Le chien
aboiera et l’archange abattra son épée sur le mécréant.
Distinction : Grand
prix du concours littéraire du monde francophone 2012 décerné par l’Académie Poétique et Littéraire de Provence à Carnoux-en-Provence
le 24 juin 2012.
Caractère de l’œuvre : roman historique.
Cadre : La Provence et le comté
de Nice entre 1530 et 1543.
Introduction au sujet : La Provence et le comté de Nice au XVIe
siècle. Une bergère est accusée de sorcellerie dans la vallée de la Tinée. René
Grimaldi de Beuil est assassiné par son valet en 1542 ; le seigneur
d’Ascros venge la mort de son frère puis torture et exécute un voyageur
soupçonné d’avoir empoisonné le puits du château de Villars. Le
lieutenant-général du roi de France en Provence reçoit, un an plus tard, quatre
soudards savoisiens qui promettent, contre paiement, d’ouvrir une porte de la
citadelle niçoise. Le diabolique lien entre ces aventures conduit à l’histoire
mouvementée des Grimaldi de Beuil.